En Argentine en 2001, durant la grande crise financière, une usine de vêtements pour hommes est désertée par ses patrons croulant sous les dettes. Les ouvrières la reprennent et mettent en place l’équité au niveau des salaires ainsi qu’un mode de prise de décisions démocratique et elles instaurent une meilleure ambiance et entente entre elles.
La police les expulse à  plusieurs reprises, mais après de nombreuses manifestations et sièges dont un qui dura huit mois, la production continue.
Toutes ces luttes n’ont pas été inutiles, et maintenant elles travaillent librement dans cette entreprise.
C’est bien de voir ces femmes qui se prennent en main pour garder leur emploi, qui ne se laissent pas faire, et qui ne se laissent arrêter par personne, et surtout pas par la police.

Johanna